Tellement décrite, d’intercuspidie maximale, centrée, normale ou anormale, de classe 1, 2 ou 3, inversée, croisée, en infraclusie, en supraclusie… qu’un article de plus sur l’occlusion dentaire semble superflu. C’est probablement pour cette raison que la planète dentiste s’intéresse davantage aux malocclusions qu’à ce miracle qu’est l’occlusion dentaire.
Toutefois, n’est-ce pas extraordinaire d’avoir n’importe quel modèle d’étude haut et bas en mains et de trouver en quelques instants leur occlusion dentaire.Elle est stable, reproductible et bien sûr, avec notre œil expert nous la classerons avec une belle étiquette.
D’aucuns, plus passionnés, détailleront les usures, les décalages, les hauteurs dentaires, et les modèles en plâtre deviennent plus vivants, mastiquant plus à gauche ou bien étant resté en déglutition infantile. Cette occlusion devient un outil de diagnostic et les fonctionalistes se régalent.